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Depuis qu'il est motorisé, il s'agit en fait d'un héliostat dont la vitesse d'entraînement était limitée, par construction, à la seule poursuite du Soleil. C'est par nécessité d'utilisation que nous l'avons doté sur le moteur Alpha d'un générateur de fréquence variable (piloté par PC à partir d'une liaison série) permettant la poursuite d'objets stellaires, rejustifiant pour la deuxième fois de son histoire l'appellation de sidérostat (lors de son inauguration à l'exposition universelle de 1900, l'instrument non motorisé était adapté à la poursuite de tous les astres).
Le miroir (80 cm de diamètre environ) est entraîné par un système mécanique complexe et précis (cf. Fig. 4). Détail important de l'instrument : le miroir et sa monture reposent sur un roulement et un bain de mercure qui compense le poids de près de 90% et qui isole ansi des vibrations mécaniques, garantissant un mouvement d'une parfaite douceur. C'est un point essentiel pour le bon déroulement aussi bien de l'alignement initial par notre méthode d'autocollimation que du suivi solaire ou stellaire en observation par la suite.
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